lundi 8 novembre 2010

Ma culture première / La culture dans mes écoles

            À l’école, ma curiosité culturelle était telle que dans mon milieu familial. Ayant de l’intérêt pour presque toutes les matières – même l’éducation physique où j’avais beaucoup de difficulté étant peu athlétique —, j’avais peine à identifier la matière que je préférais. Chaque discipline était pour moi une source d’apprentissage, quel qu’il soit. À la fin de mon primaire, ayant de bons résultats académiques, on m’inscrivit dans une « classe enrichie » en premier secondaire. Bien que mes résultats me le permettaient toujours, j’ai continué le reste de mon secondaire dans le programme d’enseignement régulier. Je me suis inscrite tour à tour dans des cours à choix de peinture sur bois, d’arts plastiques, d’arts dramatiques, de chimie, de physique, d’espagnol, d’anglais enrichi et de mathématiques enrichies. Je désirais tout connaître et expérimenter diverses choses. Ainsi, tout au long de mon parcours scolaire pré universitaire, je m’impliquai beaucoup à l’école comme à l’extérieur de l’école dans plusieurs activités telles que le journal étudiant, l’équipe de volley-ball, la caisse étudiante, l’aide au français et les événements sociaux (assurer la sécurité à des danses étudiantes et à un Happening jeunesse et participer à l’organisation d’un autre Happening jeunesse). Aussi, au collégial, dans le but de varier mon implication sociale, je me suis engagé dans l’association étudiante et dans la Banque de livres usagés du Cégep de Sherbrooke. Je cherchais alors à m’impliquer sur un plan plutôt politique dans ma collectivité. De mon engagement au cégep, j’ai développé mon esprit critique dans la vie en société et ma culture en a été améliorée, car j’ai beaucoup appris sur la politique, sur les politiques internes et sur les enjeux sociétaires au Québec.

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